Après le départ déchirant de notre ami Kevin, le concours reprend ses droits, avec une halte au Puy Du Fou pour cuisiner dans les conditions de l'époque. Avec du feu, des bâtons et des cailloux quoi. Cette semaine était clairement épique.
- Que c'était l'intro la plus WTF de la saison
Des vikings partout, des explosions, des décors en cartons pâte, des cascades. Ok on est au Puy Du Fou mais on avait un peu l'impression d'assister à une reconstitution historique animée par Stéphane Bern. Calmos sur le budget effets spéciaux les gars , c'est une émission DE CUISINE. Et puis placer la musique de Game of Thrones là dessus, on frôle la faute de goût (car il n'a y aucun viking à Westeros).
- Que Joy Astrid était pourtant avantagé dans l'épreuve
Un peu facile pour la femme du roi Arthur de cuisiner à l'ancienne. Et pourtant elle a perdu. ON EN A GROS. Ah non, en fait.
- Que fumer tue
On a entendu à peu près 5896 fois le mot "fumer" ce soir. Il est vrai que la technique est assez complexe à réaliser et quelques cuisiniers ont un peu galéré. Entre Coline qui casse presque le fumoir (mais qui marque un point), Joy Astrid qui fume pas assez sa moule (pas de vannes, merci) et Charles et Thomas qui passent à côté, l'épreuve n'a pas été une franche réussite pour certains. Et honnêtement, pour les téléspectateurs non plus, on s'est un peu fait chier. Pas trop d'enjeux, trop de gravlax, des assiettes très ressemblantes les unes les autres ... On devait pas se marrer au Moyen-Age. - Que Gabriel commence à tout arracher
Déjà qualifié d'office la semaine dernière, il a encore brillé cette semaine avec l'épreuve du fumage. Travailleur, discret mais de plus en plus confiant, Gabriel commence à avoir des airs de favoris malgré son jeune âge. Il ne remplacera pas Kevin dans nos cœurs, mais on l'aime bien aussi le petit.
- Qu'on en a un peu marre "des assiettes féminines"
Que ce soit les candidats ou même les chefs, il serait sympa d'arrêter un peu les clichés avec "les assiettes féminines". On peut être un homme et aimer la couleur, la finesse et le dressage (puisque, apparemment, c'est à ça qu'on reconnait "une assiette féminine"). Et une femme peut faire à peu près ce qu'elle veut comme type de cuisine et on s'en fout. Parlons d'assiettes, trouvons des qualités aux préparations, aux goûts, aux visuels et arrêtons un peu de trouver un genre à tout et surtout n'importe quoi. - ... lire la suite de ce top sur Topito